Je m’appelle Cigale…

« Je m’appelle Cigale. Le nom de mon père est Eau-qui-tourbillonne. Le nom de ma mère est Trois-tâches. Je veux rentrer chez moi. Mais ils ne l’entendirent pas, car elle n’avait pas parlé à voix haute. Les paroles prononcées en kiowa, avec leur musicalité tonale, vivaient dans sa tête comme un essaim d’abeilles ».

Entre deux lectures rapides d’une prose que j’ai un peu massacrée dans un précédent article – en effet, j’ai lu La Tresse, je n’en dirai pas davantage, je préfère évoquer les livres qui à mes yeux, en valent la peine… –, j’ai pris le temps de découvrir une auteure dont j’ignorais tout.

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