Happy !!!

Voilà quelques semaines, je vous faisais part de ma semi-déception après avoir terminé un opus d’Arnaldur Indridason, Lesarnaldur indridason nuits de Reykjavik. Mais je ne me suis pas avouée vaincue. Finalement, tout auteur peut avoir une petite baisse de forme, car sans être aussi impressionnant que les premiers livres, Les nuits de Reykjavik n’était pas si mauvais que ça.
Le même jour, j’avais également acheté Étranges rivages. Et là, oui ! Le maestro est de nouveau bel et bien présent.

4ème de couv. :
« Erlendur est de retour ! Parti en vacances sur les terres de son enfance dans les régions sauvages des fjords de l’Est, le commissaire est hanté par le passé. Le sien et celui des affaires restées sans réponse. Dans cette région, bien des années auparavant, se sont déroulés des événements sinistres. Un groupe de soldats anglais s’est perdu dans ces montagnes pendant une tempête. Certains ont réussi à regagner la ville, d’autres pas. Cette même nuit, au même endroit, une jeune femme a disparu et n’a jamais été retrouvée. Cette histoire excite la curiosité d’Erlendur, qui va fouiller le passé pour trouver coûte que coûte ce qui est arrivé…
C’est un commissaire au mieux de sa forme que nous retrouvons ici ! »

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Par Agnesb62, il y a

La problématique des héros récurrents

Je la connais un peu puisqu’en tant qu’auteure, je m’en suis créé un de toutes pièces. En même temps, dès mon second opus, je l’ai placé en retrait, lui faisant jouer un « second » rôle, comme si dès le départ je me méfiais de cet usage.

La problématique des héros récurrents

Voilà une quinzaine, je parlais de Simenon et de Maigret. L’auteur avait réussi, ce qui est rare en littérature, à faire de son personnage un vecteur pour parler des autres. Maigret, plus en observateur qu’en acteur majeur, que nous retrouvons de livre en livre sans avoir l’impression de lire toujours le même ouvrage.

Paradoxe. Car cette impression, je dois bien reconnaitre que je la recherche en partie lorsque je me « rue », ou plutôt me ruais sur le dernier Vargas, Mankell ou Indridason. Comme si je voulais retrouver un ami cher. Mais au fil des lectures de ces auteurs la sensation trop vive de « déjà-vu », ou plutôt de « déjà-lu » provoque à présent une forme de ras-le-bol, comme la petite musique de Modiano a fini par me « saouler »…

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Par Agnesb62, il y a

Polyvalence : rhubarbe et Indridason !

Ça fleure bon la compote de rhubarbe qui se démarre…rhubarbe

Bon ! Cela dit, j’ai fini voilà quelques jours le dernier opus d’Arnaldur Indridason, La Rivière noire. Il m’a fallu plusieurs livres pour pouvoir retenir son nom.

Je suis tombée dans la marmite des polars scandinaves avec Henning Mankell, comme beaucoup d’entre nous. J’ai continué avec Maj Sjöwall et Per Wahlöö, Jo Nesbo, sans connaître la frénésie Larsson que j’aborderai un jour, à n’en pas douter. J’aime bien ne pas toujours faire les choses dans le même sens que les autres.

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Par Agnesb62, il y a