Pourquoi encore un livre sur Auschwitz Ecrire sur la Shoah, contrairement à ce que que peuvent croire certains, ce n’est pas vouloir faire un « coup marketing ». C’est au contraire une question de valeurs, d’engagement, de militantisme. Ce post s’adresse à toutes celles et tous ceux qui ne liront pas « Le Lire la suite…
Ah ! Le petit jeu des dix bonnes raisons de lire. Certain-e-s de mes collègues le prisent fort.
Avec ce livre, j’ai pris une forme de virage. Je crois que je me suis davantage livrée, sur des sujets qui me passionnent, ou des situations qui m’interrogent.
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Victoire Meldec et le commissaire Agnelli sont de retour. Voilà bien longtemps qu’ils ne vous avaient donné de leurs nouvelles… Avouez-le, ils vous manquaient. Écrire un roman prend du temps, du moins ce fut le cas pour celui-ci. Cette fois, mes héros favoris vous embarquent dans une aventure plutôt atypique et très Lire la suite…
J’ai la sensation que nous sommes toujours plus nombreux à écrire, quel que soit le style ou le genre de prédilection de chacun, que nous soyons célèbres ou anonymes.… Sans doute ce besoin a-t-il pris son essor avec la disparition des correspondances par courrier postal, remplacées par les nouveaux modes de communication numériques, twitt et autres courriels. Frustrés de ne plus pouvoir raconter notre vie de manière un tant soit peu littéraire, nous nous sommes découverts des vocations d’écrivains.
Que nous écrivions bien ou mal n’est pas mon sujet, toute forme d’art étant pas essence
subjective.
Je m’interroge plutôt sur les méthodes qui pullulent sur le web, expliquant de quelle manière écrire une fiction, trouver son sujet, bâtir son récit, préparer l’histoire et les personnages. La semaine passée, je me suis efforcée d’écouter un tutoriel sur ce sujet, réalisé par un auteur auto-édité. Il y avait de bonnes idées, mais le déroulé m’a semblé tellement lourd et « incontournable » que mon esprit a rapidement pris la tangente. Selon ce « formateur », il y avait UNE bonne méthode, hors cela, point de salut… Comme sa prose de surcroit ne m’a pas ébouriffée, j‘avoue avoir repris dans la seconde mes (mauvaises ?) habitudes.