« Je m’appelle Cigale. Le nom de mon père est Eau-qui-tourbillonne. Le nom de ma mère est Trois-tâches. Je veux rentrer chez moi. Mais ils ne l’entendirent pas, car elle n’avait pas parlé à voix haute. Les paroles prononcées en kiowa, avec leur musicalité tonale, vivaient dans sa tête comme un essaim d’abeilles ». Entre deux lectures […]
Je m’appelle Cigale…
